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Espérance

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21 mars 2007

Prochainement la suite

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6 janvier 2007

. CHRIST MOURUT POUR ADAM ET TOUTE SA RACE

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CHRIST MOURUT POUR ADAM ET TOUTE SA RACE

Lorsque nous examinons la base de cette assurance de vie éternelle dans le Nouveau Testament, nous constatons à notre étonnement qu'il nous, avertit avant tout que nous n'avons rien en nous-même et de nous-même, qui nous donne une espérance quelconque de vie éternelle, nous voyons que la vie de la race humaine fut perdue par la désobéissance de notre père Adam ; ce dernier fut créé parfait et formé, adapté pour vivre à toujours : mais non seulement son péché lui apporta le salaire du péché, la mort, mais il transmit à ses enfants cette condition de mort graduelle et continue ; ils héritèrent de ces influences morbides et mortelles. La loi de Dieu est parfaite comme Lui-même, sa créature (Adam) l'était aussi avant qu'elle péchât, car il est dit de Dieu : « Toute Son oeuvre est parfaite ». Dieu n'approuve par sa loi, que ce qui est parfait et condamne à la destruction tout ce qui est imparfait. C'est pourquoi la race d'Adam « née dans l'iniquité et conçue dans le péché », n'a aucune espérance de vie éternelle sinon selon les conditions qui nous sont présentées par le Nouveau Testament sous le nom d'Évangile, la bonne nouvelle, à savoir qu'un chemin a été ouvert par Christ pour tous les membres de la famille d'Adam qui voudront en profiter pour remonter de la déchéance à la perfection, pour recouvrer les faveurs divines et la vie éternelle.

La base de cette espérance d'une réconciliation avec Dieu et d'une nouvelle espérance de vie éternelle est contenue dans les passages suivants : (1) « Christ mourut pour nos péchés » (2) « Il ressuscita pour notre justification » ; car Jésus vint comme « l'homme Jésus-christ, qui se donna lui-même en rançon [comme prix équivalent] pour tous ». Adam et sa race qui était déjà en lui lorsqu'il pécha et qui partagea naturellement la sentence, furent rachetés (achetés) par le sang précieux (la mort) de Christ (1 Pi. 1 : 19).

Les dispositions et les faveurs du Seigneur sont abondantes pour tous, cependant on ne peut en bénéficier qu'à certaines conditions ; il faut s'efforcer d'éviter le péché et de vivre ensuite en harmonie avec Dieu et la justice. C'est pour cela qu'il nous est dit : « La vie éternelle, c'est le don de Dieu par Jésus-Christ notre Seigneur » (Rom 6 : 23). Les affirmations scripturales suivantes sont très positives à cet égard : « Celui qui a le Fils a la vie [un droit, un privilège ou une concession de vie, accordée comme un don de Dieu] ; mais celui qui n'a pas le Fils ne verra pas la vie [parfaite] » (Jean 3 : 36 ; 1 Jean 5 : 12).

Nul ne peut obtenir la vie éternelle que par Christ le Rédempteur et le Dispensateur de vie désigné par Dieu ; la vérité qui nous apporte le privilège de manifester notre foi, notre obéissance et ainsi de « saisir la vie éternelle » est appelée « l'eau de la vie » et le « pain de vie » (Jean  4 : 14 ; 6 : 40, 51).

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LA VIE ÉTERNELLE POUR LES FIDÈLES

Cette vie éternelle ne sera accordée qu'à ceux qui, après avoir connu les conditions auxquelles elle sera accordée comme un don, la rechercheront en vivant selon l'esprit de sainteté. Ils la récolteront comme un don, une récompense (Rom. 6 : 23 ; Gal. 6 : 8).
Pour obtenir cette vie éternelle, nous devons devenir des « brebis » du Seigneur et suivre la voix,  les instructions du Berger (Jean 10 : 26-28 ; 17 : 2, 3).

Personne ne sera contraint d'accepter le don de la vie éternelle. Au contraire, ceux qui  voudront l'obtenir, devront le désirer, le rechercher et le saisir (1 Tim. 6 : 12, 19). C'est donc une espérance plutôt qu'une vie réelle, que Dieu nous donne maintenant ; c'est l'espérance que nous pourrons finalement parvenir à la vie éternelle parce que Dieu a trouvé un moyen par lequel Il peut rester juste tout en justifiant tous ceux qui croient vraiment en Christ et qui l'acceptent.
Par la grâce de Dieu, non seulement notre Seigneur Jésus nous acheta par le sacrifice de sa vie donnée pour la nôtre, mais Il devint en outre le grand Souverain Sacrificateur, et comme tel, Il est maintenant : « l'auteur [la source] d'un salut éternel pour tous ceux qui lui obéissent » (Hébr. 5 : 9) ; « et la promesse qu'il nous a faite, c'est la vie éternelle » (1 Jean 2 . 25).

« Voici ce témoignage, c'est que Dieu nous a donné la vie éternelle [maintenant par la foi et l'espérance, et bientôt d'une manière réelle, lorsque celui qui est notre vie paraîtra] et que cette vie est dans son Fils. Celui qui a le Fils a la vie et celui qui n'a pas le Fils de Dieu n'a pas la vie » (1 Jean 5 : 11, 12).

Cette vie éternelle, qu'Adam et toute sa race peuvent obtenir grâce à notre Créateur et au moyen de notre Rédempteur, est destinée et promise seulement aux fidèles et aux obéissants ; au temps présent elle ne leur est donnée que comme espérance, mais elle sera donnée effectivement aux fidèles à la résurrection. On remarquera que les promesses positives de la Parole de Dieu diffèrent. grandement des philosophies du monde qui traitent ce sujet. Ces philosophies prétendent que l'homme doit avoir une vie éternelle future, parce qu'il l'espère ou, le plus souvent la craint. Mais des espérances et des craintes ne sont pas des bases raisonnables pour établir et fonder une croyance sur un sujet quelconque. Il n'existe pas non plus de base solide permettant de prétendre qu'il y a quelque chose dans I’homme qui doit vivre à toujours ; on ne connaît, et on ne peut situer ou localiser positivement, dans l'organisme humain, aucune partie ou élément qui ait cette propriété.

Aucune objection semblable ne peut être soulevée contre les enseignements scripturaux sur cette question et il est parfaitement raisonnable d'admettre que notre existence ou notre vie est bien ce que la Parole nous affirme être, c'est-à-dire, un « don de Dieu » et non une possession acquise qui nous est propre et inaliénable. Au surplus, la conception des Écritures nous permet d'éviter les dangers des philosophies païennes enseignant que l'homme ne peut pas périr, qu'il doit vivre à toujours et que, de ce fait, la vie éternelle n'est pas un don de Dieu comme la Bible le déclare, mais une condition naturelle que chaque homme possède. Cette théorie dépasse vraiment toutes les limites.

4 janvier 2007

CHAPITRE 1

LA VIE ET L’IMMORTALITÉ

            Espérances indéfinies d’une vie future. — La réconciliation, la base de l’Au-delà. — Un Au-delà béni conditionnel. — La prévoyance de Dieu pour une vie éternelle est raisonnable. — Mortalité et immortalité. — L’immortalité pour quelques-uns, la vie éternelle pour beaucoup. — Résultats finals du Plan de Dieu.

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Si un homme meurt, revivra-t-il ?
Tous les jours de ma détresse, j'attendrais jusqu'à ce que mon état vînt à changer » (Job. 14 : 14).

Il y a dans l'homme un espoir tenace lui disant que la mort ne met pas fin à toute existence ; c'est une espérance vague et indéfinie faisant pressentir que la vie commencée maintenant aura une continuation quelque part et dans certaines conditions. Chez certains individus, cette espérance engendre la crainte ; comprenant en effet qu'ils sont indignes d'un avenir de bonheur, ils craignent un avenir de malheur ; plus ils le redoutent pour eux-mêmes et pour d'autres, plus ils y croient.

Cette espérance indéfinie d'une vie future et le sentiment opposé, la crainte, prirent sans doute naissance lors de la condamnation que Dieu prononça contre le serpent, après la chute d'Adam dans le péché et la mort : que, finalement, la postérité de la femme écraserait la tête du serpent. Nos premiers parents comprirent probablement que cela signifiait qu'une partie de la famille adamique tout au moins, triompherait finalement de Satan, du péché et de la mort, dans lesquels ce dernier l'avait poussée. Dieu encouragea assurément une telle espérance ; il ne parla cependant que d'une manière très vague à Noé et par Noé, ainsi que par Énoch qui prophétisa et dit : « Voici, le Seigneur est venu avec ses saintes myriades ». Mais l'Évangile, la « bonne nouvelle » d'un salut qui délivre de la mort et est destiné à toute l'humanité, au temps marqué par Dieu, fut montré clairement, pour la première fois, à Abraham. L'Apôtre déclare : « Dieu... a évangélisé par avance Abraham : « En toi toutes les nations seront bénies ». Telle était au moins, la base de l'espérance des Juifs dans une résurrection, car nombre de familles de la terre étaient déjà mortes et, mouraient encore ; dès lors la bénédiction promise à tous comportait forcément une vie future. Plusieurs siècles plus tard, lorsque Israël fut dispersé parmi les nations au temps de la captivité de Babylone, les Juifs emportèrent sans doute des vestiges des promesses de Dieu et gardèrent ces espérances, partout où ils allèrent.

Il est certain que la diffusion des conceptions juives parmi les humains, ou bien l'espérance native du cœur de l'homme, ou bien ces deux raisons ensemble ont amené le monde entier à croire à une vie future et presque tous croient qu'elle sera éternelle. De telles espérances ne sont cependant pas des preuves de la doctrine, et les promesses de l'Ancien Testament faites aux Juifs sont trop vagues pour constituer la base d'une foi solide et à plus forte raison pour fonder une « théologie dogmatique » sur ce sujet. Ce n'est qu'après avoir vu dans le Nouveau Testament les déclarations claires et positives de notre Seigneur et ensuite celles également précises des apôtres sur la question fondamentale de la vie éternelle, que nous commençons à remplacer nos vagues espérances par des convictions positives. Dans les paroles du Maître et de ses apôtres nous avons non seulement des assurances positives que les possibilités d'une vie future ont été prévues pour tous, mais la Bible nous a aussi transmis l'explication philosophique de ce fait essentiel et elle a indiqué comment il sera réalisé d'une manière définitive ; ces démonstrations sont d'une clarté absolue. Beaucoup de personnes n'ont cependant pas remarqué ces éléments de doctrine, c'est pourquoi elles sont « faibles en la foi ». Examinons ce qu'est cette philosophie et ayons la certitude absolue que la vie future, la vie éternelle, est une possibilité pour tous les membres de la famille humaine, grâce aux dispositions prises par notre grand et sage Créateur.

28 décembre 2006

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La source des écrits ci-dessous provient du livre  :  " La vie,  la mort,  l'au-delà "
de Paul S. L. JOHNSON,   Philadelphie,  Pie (E.U.A.) le 31 Octobre 1923  (Édition révisée).

Cet ouvrage laisse de côté les théories et philosophies humaines sur

LA VIE,  LA MORT,   L’AU-DELÀ

Cela explique les nombreuses et fréquentes références aux Saintes Écritures.

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28 décembre 2006

Sources : www.infosmystere.com (site "on

Sources  :  www.infosmystere.com   (site "on nous cache tout")

La théorie de l'évolution est elle vérifiée par les faits ?
D'après la théorie de l’évolution (érigée par Darwin), les changements chez les êtres vivants
résultent de mutationssurvenues par hasard au soin de leur équipement génétique.
Ces changements sont soumis aux pressions de la sélection naturelle, qui élimine les situations
nocives. L’héritage des changements utiles est soumis aux lois de la génétique.
On nous enseigne cette théorie comme le nec plus ultra des vérités historiques.
Et très peu de gens (de ceux qui n'ont jamais fait de recherches dans le domaine) osent remettre
en cause cette théorie car, à priori, elle fait vraie...
"L'évolutionnisme est un conte de fée pour grandes personnes".
{Citation, Rostand Jean}

Rémy Chauvin, professeur émérite à la Sorbonne, s'est occupé pendant cinquante ans du
comportement des animaux.  Darwin prétendait que la vie est née de mutations dues au seul hasard
et à l'adaptation au milieu, ce qu'il a appelé la "sélection naturelle".
La théorie de Darwin a été importante pour l'évolution de la science, mais aujourd'hui on s'est
aperçu que des termes comme "favorable" ou "défavorable" ne voulaient pas dire grand chose,
et que le milieu n'était pas forcément déterminant. Mais comme bien souvent dans la science,
on occulte plus ou moins ce qui nous dérange et on retient ce qui confirme nos théories.
Dans le domaine scientifique, il n'y a pas de vérités éternelles... pourquoi Darwin aurait-il le
droit d'échapper à cette règle ?
{Magazine, Monde Inconnu (Le), No 104, 04/1989, Rémy Chauvin, entretien avec Erik Pigani}

Une petite question (posée par Kryeon) : "si l'évolution (tel que les scientifiques la voient) existe  :
le lézard voit sa queue coupée repousser juste après.
Pourquoi lorsque nous nous coupons un membre, celui-ci ne repousse t-il pas ?"
{Livre, Partenaire avec le divin, Kryeon, Ed. Ariane}

Edouard Schuré nous dit  :
"Darwin a montré des lois auxquelles obéit la nature (combat pour la vie, hérédité, sélection naturelle,
variabilité des espèces - il en a réduit le nombre et établi l'étiage).
Mais ce sont ses disciples qui ont fait sortir toutes les espèces d'un seul prototype et dépendre
l'apparition des espèces aux seules influences des milieux. Les mammifères sont apparus après
les reptiles et les oiseaux mais ce ne sont pas les changements terrestres qui expliquent leur ordre
d'apparition.  Les milieux n'expliquent pas les espèces. Les mammifères qui ont pris place après
les grands dinosaures n'étaient pas mieux préparés au milieu dans lequel ils vivaient que leurs
prédécesseurs"
{Livre, Grands initiés (Les), Schuré Edouard, Ed. Librairie Académique Périn}

D'après Baird T. Spalding, l'homme n'a pour ancêtre aucun animal, ni aucun végétal.
{Livre, 13 leçons sur la vie des Maîtres, Spalding (Baird T.), Ed. Robert Laffont}

"Darwin lui-même se rendait compte que les données de son époque n'apportaient pas de
preuve claire et irréfutable à sa théorie. Particulièrement dérangeante était l'absence
"d'espèces de transition" dans le répertoire des fossiles.  L'existence de celles-ci était nécessaire
pour prouver que, sur de longues périodes, des espèces se transformaient effectivement
en espèces de niveau "supérieur".

"Ainsi, dès le départ, la théorie de l'évolution se trouvait sur la défensive par rapport à une
de ses pierres angulaires, et plus de 140 ans plus tard il n'y a toujours pas, dans le répertoire,
de fossile définissable clairement comme espèce de transition."
{Magazine, Nexus, No 22, 09-10/2003, Evolution des espèces, Lloyd Pye, 2002}

Eric Von Däniken nous fournit des informations montrant que les hommes vivaient à la même
période que les animaux préhistoriques.
"Dans le lit de la Paluxy River, on a découvert, à proximité de la ville de Glen Rose, au Texas,
des centaines d'empreintes de dinosaures parfaitement conservées. Les géologues sont d'accord
pour dater ce lit fluvial de l'époque mésozoïque du crétacé. A côté de ces empreintes laissées par
des pieds de dinosaure, et parmi elles, on a également mis à jour des empreintes laissées par des
pieds humains donnant l'impression qu'un homme était à la poursuite des sauriens.
Cette théorie d'apparition d'hommes avec des dinosaures ne plait pas aux darwiniens.
Pour eux, les traces d'hommes sont fausses."
"Le Dr C.N. Dougherty a irréfutablement démontré qu'on a trouvé dans la vallée des Géants,
au Texas, des centaines de traces de sauriens de différentes espèces et, dans chaque cas,
ces empreintes s'accompagnaient de traces géantes de pas humains."
[Von Däniken Erich]

Est ce que renier les découvertes archéologiques qui réfutent les théories officielles permettra
à l'homme de mieux connaître ses origines ? Ou est ce que cela ne fera que continuer à le laisser
vivre dans un conte ? (un "conte de fée pour grandes personnes" pour reprendre les propos
de Jean Rostand).

Pour conclure, laissons la parole à Seth :
"La conscience élabore la forme et non le contraire. Tout est simultané donc il n'y a pas
d'évolution des espèces
{Livre, Enseignement de Seth (L'), Roberts Jane, Ed. J'Ai Lu.

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